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J'aime les livres qui parlent de course, surtout ceux qui transposent habilement le rythme et le souffle de ce sport. Et j’ai adoré Le garçon qui courait. Je ne suis pas la seule puisqu’il est en nomination pour le Prix jeunesse des libraires du Québec.


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On y relate la vie du marathonien, Sohn Kee-Chung, premier Coréen à avoir remporté cette épreuve aux Jeux olympiques de Berlin en 1936. Il remporte cette victoire sous un nom japonais Son-Kitei, la Corée étant sous occupation japonaise.

On y parle de la résistance politique d’un homme par ce qu’il sait fait de mieux: courir.

Cela débute dès l’âge de 7 ans où avec son grand-frère, il s’enfuit après que ce dernier eut incité ses camarades de classe à se rebeller. Il doit ensuite aller en Chine tous les matins, ployant sous le poids de melons qu’il transporte sur son dos pour les rapporter à son père. Et cela continuera toute sa vie, à travers les épreuves qu’il remporte et son métier d’entraîneur.

D’autres livres qui présentent la course sous l’aspect plus psychologique:


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